Chaque semaine, découvrez de nouvelles astuces et bonnes pratiques pour devenir un expert !
Voir l'indexLe reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 1-Le Starter kit du reporting avancé
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 2. Comprendre la logique de formatage
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 3 - Découverte de la syntaxe CSS pour les bordures
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 4 - 1er Exemple avancé d’utilisation du CSS
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 5 - 2ème Exemple avancé d’utilisation du CSS (Vous êtes ici)
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 6. Gestion de la taille des colonnes
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 7. Exemples de gestion de taille des colonnes
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 8. Entête multilignes sorti dans 1 tableau XLS
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 9. Entête multi lignes sorti dans 1 onglet XLS
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 10. Entête multi lignes via l’outil Table
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 11. Entête multi lignes via l’outil Table 2
Reporting avancé ou le paradoxe de Spock : 5 - 2ème Exemple avancé d’utilisation du CSS
Et voici notre 2ème exemple avancé d’utilisation de la syntaxe CSS.
Action !!
2 - Exemple d'encadrement conditionnel de lignes (totaux)
On reprend le workflow du 1er article mais ici on souhaite encadrer dynamiquement les sous-totaux et le grand total. Là aussi, un workflow ultra simple avec plusieurs sous options en fonction du visuel attendu.
Même si ce tableau est globalement le même que pour l’article précédent, je vais ré-expliquer sa construction car il y a des nuances importantes à comprendre.
A - Formatage de la table
Identique à l’article précédent. On obtient donc :
B - Formatage des lignes
Cette fois-ci, on va l’utiliser pour gérer dynamiquement Total et sous total.
La ligne du Grand Total :
Si la colonne 1 contient « Total Monde », alors on applique le formatage.
Le formatage CSS est basique et ne concerne que les bordures :
On borde en gris, plein sur 2 pixel.
Ce sont les fonctions natives qui gèrent couleur de l’encre, taille de la police et couleur du fond.
On fait de même pour les sous-totaux :
Avec formule CSS de même type :
On borde en gris, plein sur 2 pixels.
Là aussi ce sont les fonctions natives qui gèrent couleur de l’encre, taille de la police et couleur du fond.
On obtient :
C - Formatage des colonnes
Avec cette méthode, on a que plus que les entêtes à traiter par colonne : nom, largeur, justification des données.
Et une règle pour la justification de l’entête uniquement.
On obtient le résultat final suite au formatage des 3 colonnes :
Note : Via les règles de lignes, chaque cellule se voit appliquer le même format avec une bordure à 4 cotés. On a donc un effet visuel assez lourd. C’est cependant plus rapide à mettre en place.
D’où une proposition alternative via les règles de colonnes.
L’idée est que, si on doit formater une ligne, on le fera différemment d’une colonne à l’autre en évitant les verticales inutiles.
On repart donc de l’étape…
A - Formatage de la table
Identique à la méthode précédente. On obtient donc :
B - Formatage des lignes
Ici, aucun formatage de ligne, tout passe par les colonnes.
C - Formatage de colonnes
Pour chaque colonne, on doit donc définir 3 règles.
Entête, sous-total et total. Et pour une question visuelle, le formatage d’encadrement sera distinct d’une colonne à l’autre.
Pour Col1 par exemple, on ne cherche à formater que cette portion :
Pas de bordure à droite.
On a donc :
Avec comme formule CSS :
Pas d’encadrement Border-right.
Idem pour les sous-totaux :
Avec exactement la même formule CSS.
Pour la colonne ETP, la formule CSS est donc :
Et pour la colonne Reste à recruter :
On obtient bien un reporting plus léger visuellement.
Donc, à chacun de choisir son approche en fonction des autres contraintes de formatage.
Note : Dans un but pédagogique (découvrir l’usage du CSS), j’ai présenté des encadrements via bordure. Mais ce tableau se réalise très simplement aussi, sans le CSS, si on se contente de colorer le fond dynamiquement.
Exemple :
En pièce jointe, le workflow contenant tous ces exemples.
Pour rappel, dans l’article précédent un workflow exemple comporte des exemples concrets des principales fonctions de formatage pour vous aider à réaliser les vôtres.
Vous voyez, ce n’est pas si dur finalement. 😊
Enjoy !
Pour ajouter un commentaire ici, vous devez être inscrit. Si vous êtes déjà inscrit, connectez-vous. Dans le cas contraire, inscrivez-vous puis connectez-vous.